
Dans une banlieue de plus en plus attractive, les acheteurs peuvent aujourd’hui trouver le bien qui correspond à leurs goûts et à leur budget. Démonstration avec cette sélection de villes dynamiques.
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• Hauts-de-Seine : atterrissage en douceur
En hausse de 0,2 % sur un an et en baisse de 0,6 % sur les trois derniers mois, les prix se stabilisent dans les Hauts-de-Seine à 7 300 €/m2 en mai d’après Meilleurs Agents. « Il n’y a plus de pénurie d’offre, en particulier sur les appartements sans espace extérieur », constate Thomas Bertin, directeur de deux agences Laforêt dans le département. Les acheteurs sont plus exigeants et prennent le temps de la réflexion, sans pour autant bloquer le marché. Les Notaires du Grand Paris constatent même une hausse des volumes de vente d’appartements de 4 % sur un an lors du premier trimestre, et de 9 % par rapport aux dix dernières années. Pour les maisons, le nombre de transactions recule en revanche de 7 % sur un an au premier trimestre. « Les volumes baissent sans doute par manque de biens à vendre : l’engouement pour les maisons est très fort depuis deux ans, et les stocks sont désormais faibles », analyse Thibault Gallot-Lavallée, notaire à Neuilly.
A Asnières-sur-Seine, c’est la ruée sur les maisons. Les prix se stabilisent entre 8 000 et 8 500 €/m2 entre la gare et la mairie, qui reste le secteur le plus recherché, comme pour ce 34-m2 rue Bapst, vendu 285 000 €, soit 8 400 €/m2. Il faut compter 7 500 €/m2 aux Philosophes et 6 000 €/m2 du côté de la place des Bourguignons. « Les acheteurs deviennent plus exigeants. Ils font moins de concessions », indique Christophe Desrolles, chez Orpi. Les biens donnant sur la voie ferrée sont ainsi p
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